[The Time Master]

Pour condamné les horreurs commise mercredi et aujourd'hui
Pour que perdure la liberté et la démocratie

Vive la république et vive la France!

[*Florian*]

#JeSuisCharlie
#JeSuisPolicier
#JeSuisCitoyen

[Woody II]

J'approuve. La liberté d'expression est un droit sacré en France. Nul n'a le droit de faire taire quelqu'un parce qu'il a le courage d'exprimer quelque chose qui ne lui plait pas, ou qui ne sert pas ses intérêts. Et ce, aussi longtemps qu'existent le respect et la dignité de son prochain.

Ils ont voulu faire taire Charlie, mais nous sommes tous Charlie.

Mais si cette tragédie peut nous faire réfléchir nous tous, dans notre façon d'agir au quotidien afin de nous rendre plus sages alors l'atroce n'aura pas eu lieu en vain.

[manu_vendee93]

J'approuve. La liberté d'expression est un droit sacré en France. Nul n'a le droit de faire taire quelqu'un parce qu'il a le courage d'exprimer quelque chose qui ne lui plait pas, ou qui ne sert pas ses intérêts. Et ce, aussi longtemps qu'existent le respect et la dignité de son prochain.

Il y a une contradiction inhérente à ta phrase.

Quant à l'attentat de Charlie Hebdo, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un acte atroce.
Pour le reste, je me contenterai de citer Bossuet : "Dieu se rit des homme qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes".

[Woody II]

J'approuve. La liberté d'expression est un droit sacré en France. Nul n'a le droit de faire taire quelqu'un parce qu'il a le courage d'exprimer quelque chose qui ne lui plait pas, ou qui ne sert pas ses intérêts. Et ce, aussi longtemps qu'existent le respect et la dignité de son prochain.

Il y a une contradiction inhérente à ta phrase.

Quant à l'attentat de Charlie Hebdo, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un acte atroce.
Pour le reste, je me contenterai de citer Bossuet : "Dieu se rit des homme qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes".

Je ne vois pas où est ma contradiction. Ma phrase m'apparait claire. Je veux dire par là que chacun est libre de dire ce qu'il pense, à partir du moment où il respecte les fondement même du concept de liberté c'est à dire qu'il n'attaque pas frontalement dans le but de blesser.

A partir du moment où ces fondements sont respectés, la liberté d'expression reste un droit fondamental, nul n'a le droit de faire taire quelqu'un parce que ce qu'il dit ne lui convient pas, ou parce qu'il n'est pas d'accord. D'où la notion de censure, qui en France, or contexte de de réel préjudice avéré n'a pas sa place.

[Puyfolette]

Je suppose que vous êtes au courant de ce qui s'est passé hier soir en six endroits à Paris.